Choix de Tamara pour ce thème : La médiation
Mes deux collègues se sont disputés pour une histoire bidon et je suis intervenue, cela s'appelle de la médiation. J'ai pu apaiser la dispute pour pas que ça parte trop loin. Après cela ça s'est enfin terminé et mon pote m'a fait part qu'il était tout à fait d'accord avec moi
J'ai cette envie d'aider d'apaiser les gens, j'ai d'ailleurs comme projet d'aider les gens pour les sortir de la galère, plus précisément devenir pompier, en lien avec le fait de tendre la main justement. Secourir les gens, les aider à aller mieux soigner leurs blessures les accompagnés, cela s'appelle de l'entraide. Apporter de la joie de vivre, de la bonne humeur, des rires et des sourires, cela permet de mieux vivre notre existence sur cette Terre.
Au quotidien, tendre la main ne me pose pas de problèmes, être à l'écoute quitte à m'immiscer entre des disputes pour soulager l'ambiance , j'apporte ma présence aux autres de façon naturelle.
Choix de Cyril pour ce thème:
Choix de Walid pour ce thème:
L'entraide est très important pour moi depuis petit déjà, entre voisins ma mère m'envoyait donner des plats, en retour les voisins me donnaient des plats. Ce petit geste anodin installait une entraide entre nous propice au début d' une amitié.
En France je vie dans une société qui est la République, toutes personnes qui s'investi dans cette société l'a font avancer. La devise "Liberté-Egalité-Fraternité" laisse sous-entendre qu'il y a de l'entraide dans la République.
L'entraide dans la famille c'est d'être au besoin de ses parents à un certain âge (ou pas) moi par exemple j'aide mon père à se lever, ou à ouvrir une bouteille, j'essaye de rester a sa disposition, lui m'héberge chez lui et paye les factures mais dis comme cela, c'est plutôt malsain car c'est mon père et je suis son fils. La question ne devrait même pas se poser (pourquoi je l'aide?) mais lorsque l'entraide familiale ce fais souvent naturellement, c'est mieux ainsi.
La Médiation, je trouve cela important du faite qu'on peux concilier ou effacer quelque préjuger. Souvent quand deux personnes sont en conflit, être un médiateur peux réconcilier les membres d'une famille, des amis, un couple etc.... car avec le dialogue beaucoup de problèmes peuvent se démêler.
Personnellement, j'ai déjà été médiateur dans un début de bagarre (un peux comme tous le monde) entre (deux frères orphelin) j'ai réussi à les calmer en leur disant vous êtes deux frères seuls sans parents. De la sorte, je l'ai est amené à réfléchir sur ce qu'il était entrain de faire.
Je leur est posé la question à savoir ''qu'est ce que vos parents aurais penser de vous voire vous battre ?"
ENTRAIDE définition: entraide - Définitions, synonymes, prononciation, exemples | Dico en ligne Le Robert
Médiation: définition: médiation - Définitions, synonymes, prononciation, exemples | Dico en ligne Le Robert
Information concernant l'auteur:https://www.babelio.com/auteur/Abdel-Belmokadem/222894
Définition du sens que l'auteur à voulu donner à notre phrase tendre la main.
Résumé du livre réalisé par https://www.librairiematieregrise.fr/ :
« Tendez-nous la main », document autobiographique, revient sur le parcours, de sa jeunesse à maintenant, de cet homme que j’imagine plutôt charismatique, tant il a réussi à convaincre et fédérer autour de lui. Un homme fâché, il le dit, avec l’écrit, faute d’investissement dans sa scolarité (l’ouvrage est le fruit de sa collaboration avec Renaud Leblond), mais pas fâché avec l’oral, j’en veux pour preuve sa manière d’asséner quelques vérités bien senties avec l’art des formules qui font mouche.
Au départ, c’est important, Abdel est un sportif, un boxeur qui a fait de la compétition, un gars davantage motivé par le ring, où il a remporté quelques jolis succès, que par les cours de sa terminale d’action commerciale.
Au moment des émeutes de Vaulx en Velin, en octobre 1990, il était aussi animateur bénévole dans une maison de quartier. Il décrit comment il a vu sa banlieue s’enflammer et tout ce qui a été entrepris, il y a participé, pour contenir puis stopper cette explosion de violence.
Il revient ensuite sur les années où il s’est cherché professionnellement : il a joué gagnant dès qu’il s’agissait de trouver la bonne idée sur le plan commercial…. pour finalement lâcher l’entreprise qu’il avait lancée, Action Kolor, parce qu’il manquait des bases théoriques nécessaires pour la faire perdurer.
Mais Abdel Belmokadem fait partie de ces gens que l’échec n’abat pas. Il l’engrange parmi ses expériences, s’en nourrit pour se construire : la prochaine fois, il s’entourera des personnes qui disposeront des compétences et l’aideront à aller au bout de son projet.
C’est ce qu’il a fait lorsque, après avoir œuvré des années comme médiateur auprès de la municipalité de Vaulx-en-Velin, il a lancé en 2001 « Nes et Cité », une entreprise qui lui tenait à cœur puisqu’elle permet d’ouvrir des perspectives d’emploi aux jeunes des cités. Ici, il n’est pas question d’attendre les gens dans des bureaux comme à Pôle Emploi : on va les chercher dans leurs quartiers et on organise, en partenariat avec des entreprises, de vastes opérations de recrutement (au Stade de France, par exemple) auxquelles chacun est préparé individuellement. Bref, on est dans une démarche de proximité très éloignée de ce qui se pratique habituellement en la matière.
En contrepoint de ce récit, parsemé de quelques belles rencontres, d’un homme parvenu à faire son chemin professionnellement parlant, il y a aussi l’évocation du mari et du père. Pour ses deux enfants, Abdel veut le meilleur… mais il ne peut, malheureusement, gommer le racisme auxquels ils sont confrontés et lorsqu’il en parle, on s’en émeut autant que lui.
Au travers de ce livre s’esquisse le portrait de quelqu’un de droit et combatif, qui a toujours voulu que ses luttes personnelles profitent aux autres. Pour lui, c’est une chaîne de solidarité qu’il faut tisser dans les quartiers : chaque jeune coaché doit en coacher un autre à son tour, pour qu’il y ait un effet démultiplicateur de l’action à échelle individuelle. Surtout, il est hors de question de baisser les bras en abandonnant toute une partie de la population française que les services publics ont tant de mal à appréhender. Il faut aller sur le terrain, reconquérir méthodiquement des zones de non droit comme ces cages d’escalier où il introduisit, du temps où il était médiateur, la pratique du jeu d’échecs pour que les habitants puissent se réapproprier l’espace (les échecs, avec le sport, sont ses deux passions et pour lui d’excellents vecteurs d’action).
Témoignage honnête, voire parfois brut de décoffrage, d’un homme issu de l’immigration et des quartiers qui a « réussi », « Tendez-nous la main » fourmille d’anecdotes et surtout de notations bien vues sur les questions de la diversité et de l’intégration. Et c’est le récit de quelqu’un qui, loin de se perdre, est resté fidèle à ses convictions, comme le prouve la nature de l’entreprise qu’il a créée.
En partageant son expérience, car le partage est bien le maître-mot chez lui, Abdel Belmokadem suggère des pistes de réflexion pertinentes, intéressantes aussi pour des pays étrangers (il a pu s’en rendre compte en Angleterre puis en Suède et en Suisse, où il est intervenu) et propose des initiatives concrètes solidement mises en œuvre : de quoi interpeller à bon escient le lecteur et au-delà, on peut l’espérer, les pouvoirs publics . ''source d'information''Livre: Tendez-nous la main, Abdel Belmokadem, Anne Carrière, Code Seriel Adp, 9782843376016 - Matière Grise (librairiematieregrise.fr)