Ayoub" Tendre la main" thème la SOLIDARITE

Choix Ayoub pour ce thème d'aider quelqu'un dans le besoin pour lui tendre la main , c'est être solidaire à sa cause
je suis solidaire des personnes migrantes, celle-ci ont quitté leur pays pour des raisons économique, politique, environnemental. Ces personnes veulent une meilleur vie donc elles abandonnent tout pour cela. Elles n'hésitent pas à prendre la route et tenter leur chance pour un autre pays, le chemin est long, Il est remplis d'imprévu les migrants mettent leur vie en danger .Arriver dans un pays ou il espère être accueillent ils auront besoin d'avoir un toit, de la nourriture et des papiers pour pouvoir travailler.
Cette situation je la trouve injuste elle ne permet pas d'être reconnu à ces personne le fais de ne pas êtres accepté les plongent dans la précarité et plusieurs autre situation qui ne leurs permettent pas d'êtres libre ils sont souvent dans des situations de danger qui ne leur
permettent pas une intégration à notre société dans son fonctionnement.
Moi Ayoub, par le faits d'avoir choisis ce thème je suis solidaire au migrants.
Pourquoi?
Dans mon environnement de vie je connais des gens, ma famille, des amis, des proche qui ont cette situation. Le fais de pouvoir exprimer aujourd'hui dans ce travail de recherche des informations c'est ma manière de les aider de leur tendre la main par cette écris
Information concernant l'auteur
Définition du sens que l'auteur à voulu donner à notre phrase tendre la main.
https://editions.flammarion.com/vaincre-nos-peurs-et-tendre-la-main/9782081422667
Résume du livre:
Guillaume le Blanc s’intéresse dans ce livre à la fois aux exclus de la société française et aux migrants.
Il appelle à une politique de l’hospitalité qui ferait disparaître les SDF et permettrait d’accueillir ceux qui ont fuit leur pays non seulement parce qu’ils étaient réfugiés politiques mais aussi parce qu’ils étaient en situation de famine.
Il rappelle qu’il y a des lois qui permettent la réquisition de locaux inoccupés et que certains locaux vides comme d’anciens établissements scolaires ou maisons de retraite demanderaient peu d’aménagements pour pouvoir accueillir des gens sans abri. Il rappelle que depuis 1991 les demandeurs d’asile n’ont plus le droit de travailler. Il rappelle que l’hospitalité est à l’origine un lieu et pas une qualité.
Le flux des réfugiés n’est pas prêt de décroître pour de multiples raisons liées à la situation climatique, au pillage des ressources alimentaires (comme par les bateaux de pêche venus d’Extrême-Orient qui naviguent au large des côtes africaines), aux conflits armés ou à la répression que subit un peuple (comme celui d’Érythrée). Il cite le Prix Nobel de la Paix Jean-Marie Gustave Le Clézio qui dans Le Nouvel Observateur du 9 janvier 2018 écrivait :